Le nouveau patron des caraïbes, c'est moi !
Le 5 septembre, j'ai croisé l'espagnol Le Vénitien. Je l'ai très généreusement épargné mais il ne m'a pas remercié, la prochaine fois, il sera coulé.
Le 30 octobre, j'ai croisé l'espagnol Vicaire Pensar. Je l'ai très généreusement épargné mais il ne m'a pas remercié, la prochaine fois, il sera coulé.
Le 3 novembre, j'ai croisé le forban Pat London qui avait essayé de me rouler à mon arrivée ici. J'ai criblé son navire et son équipage, il n'en restait presque rien. En raison d'une odeur désagréable en provenance de son navire, j'ai renoncer à m'approcher davantage pour l'aborder. Cela doit être sa stratégie de défense de dernière minute.
La prochaine fois, je le coule.
J'ai croisé et salué d'autres capitaines qui je l'espère seront mes alliés.
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