Bertrick

Capitaine du La Reyne écarlate (Corvette de 6 légère)

Diable Rouge de la confrérie Jolly Roger

Tacticien, issu de la populace, actuellement pirate

Expérience globale : Légende vivante

Diplomatie
-1580 369
-1845 286
1506

Renommée Honneur Piété
51 0 0

Trésor
Millionnaire

Domaines métropolitains
0 acres 0 acres
0 acres 0 acres

Son histoire :
Santiago de Léon de Caracas le 14 Mars 1721.

Me voicy de retour dans les eaux du Nouveau Monde.


Dame Fortune sera t-elle encor à mes costés ?

Quand à me taillez forte et belle réputation , mon surnom de "Diable Rouge" estoit déjà au Panthéon des gens de fortune & fort honni des représentants des Princes qui gouvernent et de leurs marines.


- j' a appareillé le 14 de Mars 1721 à bord du dogre de 120 tonneaux "Oméga" battant pavillon de Castille et Leon et dépourvu d'artillerie ... faute de piastre !

- Le 21 Mars j'a fais envoyez le pavillon noir à la corne d'artimon.

- Le 3 Mai j'a fais envoyer à la corne d'artimon le pavillon rouge de ma confrérie "Jolly Roger".
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Le trentième jour de Août 1725 au Caye des femmes.

Une partie de la cassette de la compagnie ainsi que la vente de la barque longue prise aux espagnols nous permirent l'achat d'un lougre de cent trente tonneaux de jaune et percé pour six pièces de canon
.Nous dûment payer cent vingt six mille livres tournois de mise hors et mille six cent vingt deux livres pour les canons de 3 livres.
Nous parvinment aisément a recruter les trente hommes nécessaires pour compléter l'équipage.
Notre vaisseau devrait être excellent marcheur aussi le gouverneur Pierre Lemeneur nous nolisa comme porteur de dépêches pour nous rendre "avec " la plus grande célérité" à la colonie libre de Saint Thomas dans les isles du vent contre une belle rétribution.

Le premier jour de Septembre, un fort coup de vent de sud sur une grosse mer nous contraignit à rester à l'abri.
Peu avant l'aube, le vent faiblissant nous larguames nos amarres et allâmes jeter l'ancre à quelques encablures dans la baie. Le lendemain, nous etablimes nos voiles et fimes cap à l'est. A cinq lieues et le Cap St. Antoine sur notre horizon bâbord, ont decouvrit au nord deux navires armés en guerre, un François et un batave et qui semblaient se donner la chasse. Nous courumes N.E. pour doubler le Cap Coriantes. Nous mouillames au nord de l'isle de Pinos.
Nous fimes cap S.E. la côte sud de Cuba défilant sur notre horizon bâbord. Un petit senau François fût aperçu en vue devant le port de la Sainte Trinité mais nous étions sous son vent et dûment le laisser.
Les jardins de la Reyne défilaient au nord et nous mouillames près du Cap Cruz pour la nuit.
Le lendemain, nous croisames près de isle à Vache un grand chebec que nous reconnu mes comme celui du capitaine Pat London qui n'était pas franchement un ami de Bertrick aussi nous mettames autant d'eau que possible entre nous
Le huitième jour de Septembre nous aperçûmes le port espagnol de Santo Domingo sur bâbord.